D'Iribarne: «Le pouvoir politique ligoté par une conception trop radicale des droits de l’homme»
L’emprise d’un nouveau pouvoir spirituel, guidé par la foi dans les droits de l’homme, contrôle de plus en plus strictement l’expression de la souveraineté populaire. À tel point que l’autonomie du temporel, naguère laborieusement conquise face à l’Église, reste à reconquérir face aux nouveaux clercs.