Bloc-notes : Jacques Chirac, père de la droite honteuse

La mort de Jacques Chirac rend orpheline la droite honteuse. Partout, elle s’est transformée en machine à perdre. Ce week-end, en Autriche, le chancelier conservateur Sebastian Kurz a remporté haut la main les législatives après une campagne décomplexée contre "l’immigration illégale" et "l’islam politique". Du coup, l’extrême droite (FPÖ) a perdu dix points. Tant que la question identitaire ne sera abordée qu’avec des pincettes par Les Républicains, ils n’auront aucune chance de retrouver leurs électeurs perdus. Il y a un an, Valérie Pécresse (LR) déclarait : "Ni Orban ni Salvini ne sont des modèles pour la droite française." Ce genre de réflexion ne satisfait qu’un progressisme en sursis : il surnage en insultant ceux qui craignent que les Français ne deviennent, demain, minoritaires dans leur pays envahi. Cela fait cinquante ans que les lanceurs d’alerte, à commencer par le conservateur britannique Enoch Powell en 1968, sont ainsi traqués par les dénonciateurs et les censeurs à cartes de presse. Mais les faits donnent souvent raison aux Cassandre. La droite honteuse a fait son temps.
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