Ces pépites du renseignement et de la défense poussées dans les bras étrangers

Comme Linkurious et Earthcube, plusieurs entreprises innovantes du renseignement et de la défense sont sollicitées par des investisseurs étrangers, dont le fonds de la CIA In-Q-Tel. En France, elles n'ont pas ou peu d'alternatives de financement.

« Il faut arrêter Hollywood ! », lâche, amer, un entrepreneur français devant le déluge d'images sur l'innovation des armées qui anime la communication du ministère de la Défense depuis quelques semaines. Le « Flyboard Air » de Franky Zapata a failli  battre pavillon américain . D'autres projets moins cathodiques sont poussés à prendre un drapeau étranger, faute de trouver les financements adéquats en France.
La faille est désormais bien identifiée par les investisseurs étrangers, qui ont ciblé ouvertement ces derniers mois les start-up françaises du secteur de la défense et de la sécurité. Le fonds de la CIA, In-Q-Tel, s'est intéressé de près à Linkurious, la start-up qui a aidé dans l'affaire des « Panama Papers » en détectant les interconnexions entre personnes à partir de signaux faibles pour les banques, l'armée ou Bercy.

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