«Électricité, peur sur l'hiver» - Par Sébastien Chapotard

Alors que l'arrêt des réacteurs nucléaires crée des tensions sur le réseau électrique, Sébastien Chapotard insiste sur la nécessité de réinvestir dans des moyens de production pilotables, et particulièrement dans le nucléaire.

Sébastien Chapotard est Chargé d'étude au sein du Think Tank IREF Europe et conseiller municipal d'Abbeville.

Faute d'avoir investi suffisamment dans son parc nucléaire, la France se retrouve aujourd'hui en forte tension sur son réseau électrique. Au cœur des fêtes, RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité passait au niveau maximum son degré de vigilance et avertissait sur de possible «coupures ciblées de consommateurs». L'impensable est arrivé, nous dépendons de la météo pour notre approvisionnement énergétique.

Depuis plusieurs années, tous les experts s'époumonent à expliquer que l'on ne peut remplacer aussi aisément des moyens de production d'électricité pilotables (nucléaire, charbon, fuel, gaz) par d'autres intermittents (éolien, solaire). Pourtant, les États européens, poussés par les partis de gauche - et notamment les Verts - ont accumulé les décisions allant dans ce sens en actant de la fermeture de nombreux réacteurs nucléaires en Allemagne et en Belgique notamment. En France, Emmanuel Macron a pris, contre l'avis de l'Autorité de sûreté Nucléaire (ASN), la décision de fermer prématurément les 2 réacteurs de la centrale de Fessenheim.

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