Renaud Girard: «Fessenheim, proie du fanatisme écologiste»

Le 22 février 2020, la France a appliqué une décision industrielle à l’exact opposé de ses intérêts à moyen et long termes. Elle a fermé le premier réacteur de la centrale nucléaire de Fessenheim et fermera le second en juin prochain, mettant fin à 42 ans de production électrique bas carbone en Alsace.
La fermeture de cette centrale, considérée comme particulièrement sûre par l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), ne répond à aucune urgence technique, ni à aucune contrainte d’aménagement du territoire. Elle est purement idéologique. Elle résulte d’une promesse faite aux écologistes par François Hollande lors de sa campagne présidentielle de 2012. La promesse fut reprise par Emmanuel Macron dans sa campagne de 2017.
Comme les consommateurs de l’électricité produite à Fessenheim - qu’ils soient alsaciens, lorrains, belges ou allemands, dans ce marché européen interconnecté - ne vont pas du jour au lendemain décider de s’éclairer à la bougie, il faudra bien remplacer cette production par celle de centrales à charbon ou à gaz, situées quelque part en Europe. Lire la suite de la chronique
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