Gilles-William Goldnadel : «L’imposture des footballers “antiracistes”»


Une grande partie des chroniques que je publie dans ces colonnes sont consacrées, à la lumière de l’actualité, à la thématique de la folie névrotique du temps - au sens psychiatrique - associée aux thèmes voisins des obsessions raciales ou sexuées et de la censure suspicieuse du discours des suspects par essence que sont devenus les hommes blancs.

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L’une des chroniques les plus récentes était dédiée à la dictature émotionnelle exercée principalement par l’extrême-gauche racialiste dont le dernier prétexte étaient les supposées violences policières à caractère systémique. Cette fois, nouvelle étude de cas, cette dictature de l’émotion sous couvert de racisme allégué aura montré sa puissance, sa démesure, autant que sa folie à travers un match de football.