Marc Fontecave : «Le délit d’“écocide”, un fourre-tout qui ouvre la voie à l’arbitraire»


Dans L’Affaire Tournesol, le capitaine Haddock n’arrive pas à se débarrasser d’un sparadrap, qui malgré tous ses efforts, reste collé sur son nez, sa main droite puis sa main gauche. Avec les 150 propositions de la Convention citoyenne pour le climat (CCC), sans grand intérêt et sans originalité, le gouvernement a beaucoup de sparadraps dont il ne sait se défaire. Comment a-t-on pu imaginer que la politique française sur le climat (qui englobe cette question complexe de la transition énergétique) pouvait être élaborée de façon si peu démocratique (il s’agit de l’opinion de 150 citoyens tirés au sort) et si peu professionnelle (aucune expertise n’était requise) et pour promettre démagogiquement d’appliquer ces propositions «sans filtre»?

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Sur le dernier sparadrap en date, la proposition de création d’un «crime d’écocide», dont on ne voit pas le rapport avec le climat, le filtre est intervenu puisque Barbara Pompili, ministre de la Transition énergétique, et Éric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, ont annoncé l’introduction dans le droit français d’un «délit d’écocide», en place du crime, d’ailleurs pour des raisons juridiques parfaitement justifiées.

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