«Leçons et espoirs d’une année terrible» par Nicolas Baverez, avocat et essayiste


L’année 2020, placée sous le signe d’une pandémie et d’une récession historiques, restera comme un temps de catastrophe. Elle a jeté une lumière crue sur l’extrême vulnérabilité des démocraties.

L’Occident s’est révélé incapable de maîtriser la pandémie, comme il a perdu le contrôle de l’ordre mondial avec les guerres enlisées et perdues et celui du capitalisme avec le krach de 2008. Mais les moments de plus grand danger sont aussi ceux où l’espoir peut renaître. L’année 2021 doit être moins celle d’une relance que d’une reconstruction. L’heure n’est pas au retour vers le passé pour réactiver le capitalisme de rente et de bulles, sanctuariser la polarisation des sociétés et la désintégration des classes moyennes, encourager les passions collectives. La priorité doit aller à l’invention d’une nouvelle donne. Or celle-ci peut se nourrir des signaux positifs qui sont apparus au milieu des calamités.

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