La chasse aux "violences sexistes et sexuelles" (VSS) est ouverte à l’Université - Par Marcel Kuntz

La ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation a dévoilé un plan d'action pour combattre les violences sexistes et sexuelles à l'université. Or, des plans existent déjà et ces annonces relèvent surtout d'une motivation idéologique.

La Ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Frédérique Vidal, dévoile le 15 octobre son plan d'action pour combattre les « Violences Sexistes et Sexuelles » (VSS) : « un plan global de 7 millions d'euros pour que la peur change de camp ». Le contexte est évidemment la révélation d'une centaine de faits de harcèlements sexuels, agressions sexuelles et viols à l’école d'ingénieurs CentraleSupélec en 2020-2021.

« Les choses vont changer », assure la Ministre. Pourtant, dès le 1 août 2018, le Parlement avait adopté à l’unanimité le projet de loi contre les « violences sexistes et sexuelles ». Ses principaux articles portent sur les agressions sexuelles et viols, et en ce sens cette loi apparaît bienvenue à première vue. Mais l’enfer est pavé de bonnes intentions : non seulement l’efficacité opérationnelle de cette loi semble peu évidente, mais le concept de VSS prolifère aujourd’hui dans un sens idéologique. Démonstration.

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