Le populisme trébuche en Europe de l’Est et la relève est… conservatrice - Par Edouard Husson

Beaucoup se sont réjouis à l’Ouest de la défaite d’Andrej Babis en République tchèque et de la démission du chancelier autrichien Sebastian Kurz. L’UE se sauvera-t-elle mieux avec ceux qui leur succèdent ?

Le paradoxe d'une Europe centrale où l'alternance politique se fait au nom du conservatisme.

Remplacer des conservateurs détestés... par d'autres conservateurs !
 
Avouons qu'il y a de quoi sourire à la lecture du titre du journal Le Monde consacré au résultat des primaires organisées pour faire émerger un adversaire au Premier ministre que haïssent nos bien-pensants: "En Hongrie, l'opposition choisit un candidat "conservateur et croyant" pour faire face à Vilktor Orban. Effectivement, dans un scrutin au résultat paradoxal, Peter Marki-Zay a été choisi par la coalition des six partis qui, de la droite à la gauche, s'unissent pour essayer de faire perdre Orban. En particulier, le maire écologiste de Budapest, Gergely Karacsony, s'est retiré pour faire élire un homme dont les forces d'une opposition jusque-là émiettée, pensent qu'il est le seul à pouvoir faire battre le Premier ministre qui remettra en jeu son mandat au printemps prochain Les médias ont beau traiter Orban de nationaliste ou d'homme d'extrême-droite, personne ne devrait être dupe: l'actuel Premier ministre hongrois est un conservateur et l'on pense ne pouvoir le faire battre que par un autre conservateur !

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