Gilles-William Goldnadel: L’extrême-gauche a la passion des étiquettes

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J’ai souvent été conduit dans ces colonnes à décrire de manière critique l’obsession de la gauche médiatique de vouloir décrédibiliser ses adversaires en les accusant de flirter peu ou prou avec le fascisme. L’accusation, fantasmatique voire névrotique, reproche à l’un d’être vichyssois, à l’autre d’appartenir à une «fachosphère» (notez le rapprochement historique audacieux), à tous d’être d’ «extrême droite». S’agissant de l’accusation, nul besoin de l’étayer, l’épithète censée être infamante, valant preuve.
Ces dernières années, la gauche médiatique a commencé à renoncer au lien direct avec la Seconde Guerre mondiale, ayant fini par comprendre à quel point le fameux point Godwin était devenu un boomerang violent. Reste l’insulte d’appartenir à l'extrême droite censée encore disqualifier. Cette extrémité reposait principalement sur l’antisémitisme, le racisme, l’usage de la violence, l’intolérance et la détestation de la démocratie. Force est de constater qu’il est difficile de trouver dans les partis politiques de droite représentés à l’Assemblée nationale ou chez les personnalités médiatiques de premier plan classées à droite des individus cochant plusieurs des cases de la définition précitée.
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