Mathieu Laine : «Ne nous habituons pas au confort de nos nouvelles servitudes»

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«Si nous voulons que tout reste tel que c’est, il faut que tout change.» Alors que les têtes d’affiche du «monde d’avant» ont toutes la prétention d’incarner le «monde d’après», la fameuse formule de Tancrède, le neveu de Don Fabrizio, le prince Salina dans le mythique roman de Giuseppe Tomasi di Lampedusa, Le Guépard, sonne comme un coup de tonnerre.
La pandémie de peur et la pluie de sauterelles idéologiques qui se sont abattues sur nos existences dans le sillage de l’épidémie de Covid-19 n’ont a priori rien de commun avec «la lente substitution de classes» marquant la fin du monde aristocratique et l’unification de l’Italie décrites par celui dont l’unique et formidable roman sera publié l’année suivant sa mort. Pour autant, quand Fabrizio lance, à propos du Risorgimento, «Nous fûmes les Guépards, les Lions ; ceux qui nous remplaceront seront les petits chacals, les hyènes», il nous interpelle nous.
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