Goldnadel: «La relaxe de Cédric Herrou révèle les dangers d’un gouvernement des juges»

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En dépit de ma révérence obséquieuse pour les institutions, je ne jurerais pas que les Sages du Conseil constitutionnel se soient conduits avec une infinie sagesse lorsqu’ils ont consacré le «principe de fraternité».
C’est l’érection officielle de ce nouveau principe qui a autorisé le 13 mai la Cour d’appel de Lyon à relaxer Cédric Herrou de toutes les préventions qui pesaient contre lui pour avoir acheminé de l’Italie vers la France plus de 200 migrants en toute illégalité.
Seul le virus couronné a réussi à confiner médiatiquement dans des proportions mesurées cette décision lourde de conséquences juridiques et pratiques.
Je rappellerai donc que par une décision en date du 6 juillet 2018, le Conseil constitutionnel présidé par Laurent Fabius et au sein duquel siège un autre ancien ministre en la personne de Lionel Jospin, a consacré la valeur constitutionnelle du «principe de fraternité» contenue dans la célèbre devise républicaine .
Il consacre ainsi «la liberté d’aider autrui, dans un but humanitaire, sans considération de la régularité de son séjour sur le territoire national».
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