Éolien off shore : personne n’en veut mais nous l’aurons quand même - Par Michel Negynas

À Dunkerque, outre les riverains, la Ligue de protection des oiseaux et six partis politiques demandent un référendum : les malheureux ! L’écologisme idéologue se rit des référendums !


Lorsqu’on fait remarquer aux aficionados de l’éolien qu’il faut 4 GW d’éolien pour remplacer un GW de nucléaire ou de gaz, et qu’en plus, on ne sait pas quand on les aura, la réponse est souvent : mais avec les éoliennes off shore, tout change…

Or on a déjà l’exemple de l’Allemagne. Elle en a installé près de 8 GW, avec des engins de près de 200 mètres de hauteur.

Au hasard, prenons la courbe des capacités éoliennes en Allemagne de la dernière semaine : l’offshore est en bleu… on voit bien qu’il varie exactement comme le on shore. Certes, le bilan global est un peu meilleur, soit environ 40 % au lieu de 25 %, mais il est tout aussi intermittent que le on shore. Il ne résout donc en rien le problème principal des énergies aléatoires : il leur faut en parallèle un réseau équivalent de centrales pilotables à la demande.

En outre, les coûts d’investissement sont énormes, surtout si on inclut les coûts de raccordement au réseau continental. Il est vrai que RTE en fait cadeau aux investisseurs, aux frais des consommateurs et des contribuables. À Dunkerque, il en coûte 250 millions d’euros pour raccorder 600 MW d’éoliennes.

Enfin, tous les possesseurs de bateau savent que la mer est un milieu d’une agressivité constante : bonjour les frais de maintenance !

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