Mathieu Bock-Côté: «Dysphorie de genre, pour la prudence»

De médicale, la question de la transidentité est devenue politique, ce que reconnaît la mouvance trans qui se présente comme un mouvement de libération.


Nous l’apprenions dans Le Figaro mardi, la Suède, longtemps à l’avant-garde dans la prise en charge médicale du changement de sexe des mineurs, commence à douter de la valeur de cette idée, au point que l’hôpital Karolinska, spécialisé dans le domaine, refuse désormais de leur offrir le traitement hormonal qui le rendait possible. Derrière ce coup de frein, un constat: alors qu’il s’agissait d’un phénomène marginal, la dysphorie de genre s’est répandue, depuis une dizaine d’années, comme si des milliers de jeunes en quête identitaire trouvaient dans la théorie du genre et la transidentité un vecteur pour canaliser leur malaise existentiel, en plus d’obtenir en s’engageant dans cette démarche la reconnaissance d’une époque les transformant en avant-garde de l’émancipation. Hollywood fait grand cas, par exemple, des histoires de transition qui y surgissent, comme autant de moments pédagogiques censés éduquer l’humanité.

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