Coronavirus : le principe de précaution ne nous aide pas

En 2004, la France inscrit le principe de précaution dans sa constitution. Il a été appliqué de façon plus ou moins judicieuse à toutes sortes de domaines dépassant largement l’environnement. Force est de constater dans le cas du coronavirus que son esprit n’a pas été compris. En effet, plutôt que de favoriser de façon décentralisée l’émergence d’informations cruciales sur ce nouveau virus, nos pouvoirs publics cantonnent les citoyens à des mesures individuelles approximatives, au risque d’entretenir les peurs et les fantasmes dont on sait qu’elles peuvent être mauvaises conseillères.
L’article 5 de la charte environnementale à valeur constitutionnelle affirme que : « Lorsque la réalisation d’un dommage, bien qu’incertaine en l’état des connaissances scientifiques, pourrait affecter de manière grave et irréversible l’environnement, les autorités publiques veillent, par application du principe de précaution, à l’adoption de mesure provisoires et proportionnées afin d’éviter la réalisation du dommage ainsi qu’à la mise en œuvre de procédure d’évaluation des risques encourus. »
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