Justice : le faible a-t-il forcément raison ?

En matière judiciaire, le faible a-t-il forcément raison face au fort, le dominé face au dominant ?
J'admets le caractère un zeste provocateur de cette interrogation dont j'estime pourtant qu'elle est encore d'actualité même si la fameuse harangue d'Oswald Baudot, infiniment caricaturale et dangereuse puisqu'elle avait poussé au paroxysme cette dérive approuvant par exemple le voleur contre le propriétaire, date de 1974.
Il me semble utile, au cours de cette période de confinement, de sortir du coronavirus pour s'attacher à des problématiques passionnantes et qui m'ont conduit, durant ma vie judiciaire, à contester des pratiques délibérément politisées.
Je n'aurais cependant pas sauté le pas si je n'avais lu un portrait d'Etienne Rigal (ER), magistrat réputé dans le droit du surendettement, et l'un des protagonistes du livre d'Emmanuel Carrère "D'autres vies que la mienne" (Le Point).

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