Europe, Syrie, Otan, Russie… Erdogan sur tous les fronts

À force de se battre sur tous les fronts, le Turc Erdogan peut perdre sur tous les tableaux. Son seul avantage, à ce jour, est de n'être pas frappé par le coronavirus. Il y a une semaine, le 5 mars, il était à Moscou. Poutine, qui sait à qui il a affaire, le fait volontairement attendre au Kremlin. Histoire de lui faire comprendre qu'il n'est pas content. Puis, les deux hommes se mettent au travail pour parvenir à la rédaction d'un accord sur le gel de la situation en Syrie où, une semaine plus tôt, ils se tiraient dessus.
Quatre jours plus tard, le 9 mars, le président turc est cette fois à Bruxelles. Et là, il s'entretient successivement avec deux types d'interlocuteurs. D'abord avec le secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg, c'est-à-dire le représentant de l'Amérique ; l'un et l'autre font en sorte que les choses se calment. Puis avec les deux éminences européennes qu'il rencontre pour la première fois, Ursula von der Leyen, la présidente (allemande) de la Commission, et Charles Michel, le président (belge) du Conseil de l'Union. Là, le climat est tout différent. Parce qu'il a volontairement fait ouvrir les vannes de l'émigration vers les pays européens. Et que ce n'était pas du tout ce qui était dans leurs accords.
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