L’antiracisme féministe, ou le nouveau marxisme - Par Laetitia Strauch-Bonart


L'entretien que la chanteuse Camélia Jordana a accordé à L'Obs a déjà fait couler beaucoup d'encre, ses propos ayant provoqué un tollé sur les réseaux sociaux. « Si j'étais un homme, je demanderais pardon, a-t-elle déclaré. « Car les hommes blancs sont, dans l'inconscient collectif, responsables de tous les maux de la terre. »

Les critiques ont rappelé avec justesse à quel point cette affirmation est aussi fausse que scandaleuse, puisqu'il n'est un secret pour personne que les hommes blancs n'ont pas le monopole de la tyrannie, et qu'à l'heure d'aujourd'hui, les pires dictatures se situent sous d'autres cieux que les nôtres. Mais il est surtout frappant de constater à quel point le nouvel antiracisme féministe – intersectionnel, faut-il dire désormais –, de la niche idéologique qu'il était, aux États-Unis, est parvenu à se diffuser dans tous les pays et toutes les strates de la société. Des commentateurs aux responsables politiques en passant par les personnalités de la culture, tout le monde, ou presque, incorpore ce nouveau langage.

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