Contrer l’effet apéro: une formule révélatrice de la déconnexion dramatique des élites au pouvoir - Par Maxime Tandonnet


Pour expliquer la décision gouvernementale d’imposer un nouveau couvre-feu général à 18 heures, l’un des principaux leaders de l’équipe dirigeante et de la majorité a utilisé une formule destinée à marquer les esprits: il faut éviter «l’effet apéro». Il voulait dire par là que l’objectif de cette mesure était d’empêcher les réunions amicales ou familiales autour d’un verre ou d’un repas susceptible de propager le virus. Cette déclaration a atteint une partie de son but: elle suscite le «buzz», provoque, à droite comme à gauche, une avalanche de réactions.

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Mais par-delà le bruit médiatique et celui des réseaux sociaux, cette expression est riche de significations. Elle en dit long sur la fracture démocratique ou le fossé d’incompréhension qui sépare les élites dirigeantes de la population de ce pays. Elle souligne une fois de plus à quel point le mépris des gens est au centre de l’idéologie dominante, celle qui sous-tend le discours et l’action politique depuis une dizaine d’années.

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