Les GAFA vont de plus en plus se substituer au pouvoir politique dans la gouvernance des peuples - Par Charles Consigny


Valeurs actuelles. La récente censure dont Donald Trump, président des Etats-Unis, a fait l’objet sur Twitter et Facebook, est-elle symptomatique d’une dérive totalitaire des géants des réseaux sociaux contre le conservatisme ?

Charles Consigny.
Cela me semble évident. Donald Trump, malgré tout ce que l’on peut lui reprocher, incarnait un pouvoir fort et volontariste auquel nous n’étions plus habitués. Par ailleurs, il gouvernait au nom des classes populaires et des oubliés de la sphère médiatico-politique… Son élection a très fortement déplu à l’establishment.

Depuis sa victoire en 2016, Trump assume avoir d’autres priorités que le politiquement correct, de ne pas lui être soumis et de ne pas lui laisser le pouvoir. Il est en rupture ouverte avec les valeurs des élites médiatico-politiques américaines. Celles-ci n’ont jamais accepté l’idée qu’il ait accédé à la Maison Blanche. Aujourd’hui, Twitter et Facebook reprochent au président sortant d’avoir fait, pendant deux semaines, ce que ses adversaires ont fait pendant quatre ans ! A savoir : refuser le résultat d’une élection. Forts de leur position monopolistique, les géants du numériques entendent se substituer au politique dans la gouvernance des peuples, notamment en décidant de qui peut s’exprimer ou non. L’élection de Joe Biden, qui débute triomphalement par la censure de son ancien rival, signe le retour implacable de l’establishment et de sa chape de plomb.

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