L’immigration ou la République, faut-il choisir? - Par Aurélien Marq

L’incohérence n’est pas le moindre défaut de ceux qui se flattent de rejeter « tous les extrêmes » au nom des « valeurs républicaines ». Depuis des décennies, ils n’ont de cesse d’ouvrir toutes grandes les portes de la France et de la citoyenneté à ceux qui forment la plus grande menace contre ces valeurs, et contre la République elle-même. Peu leur importe que la France et la République s’effondrent, pourvu qu’ils puissent continuer à s’enorgueillir de leurs postures morales !


Nous ne choisissons pas notre immigration

En réalité, il ne faut pas parler de l’immigration, mais des immigrations. Accueillir sur notre sol des disciples de Confucius n’est pas la même chose qu’accueillir des disciples d’Al Qaradawi. Hélas, les flux migratoires actuels se composent nettement plus des seconds que des premiers – gardons néanmoins à l’esprit que certaines immigrations ne posent aucun problème.

Ensuite, la République ici évoquée n’est pas juste un régime politique, sans grand intérêt dès qu’on lui adjoint des adjectifs comme « islamique » ou « populaire », mais la République française, ce qui est radicalement différent. Enfin, le sujet n’est pas ici d’analyser la manière dont certains ne parlent de la République que pour ne surtout pas parler de la France, mais de souligner le fait qu’ils trahissent sans cesse dans leurs actes ce qu’ils prétendent défendre dans leurs paroles.

Car enfin ! Comment peut-on sérieusement se dire « républicain » lorsque pendant des décennies on a encouragé activement l’importation massive d’antisémites, de fanatiques religieux et de misogynes via une immigration débridée ? Bien évidemment, tous les nouveaux venus ne sont pas antisémites, ni fanatiques, ni misogynes, même lorsque leurs cultures d’origine le sont. Mais on sait que dans leur majorité ceux qui arrivent en France depuis une quarantaine d’années perpétuent les travers de cultures dans lesquelles l’antisémitisme, par exemple, est totalement banalisé, voire valorisé – Georges Bensoussan a payé au prix fort le droit pour nous tous de le dire. Et on peut faire le même constat, pour les mêmes raisons, au sujet du refus de reconnaître l’égalité des droits civiques entre femmes et hommes, ou du rapport entre la religion et la politique, avec la liberté de conscience et la liberté d’expression, le droit à l’apostasie, le droit au blasphème.

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Ainsi, pour ne parler que des cinq dernières années, sur les deux millions d’immigrés arrivés en France, combien d’antisémites ? Combien de personnes imprégnées de cultures tribales, qui n’accepteront jamais l’esprit de la laïcité, et l’idéal d’émancipation citoyenne des individus ? Combien qui n’accepteront jamais que les femmes puissent avoir les mêmes libertés que les hommes ? Combien, en somme, qui rejetteront toujours les plus élémentaires des principes qui fondent la République française, et qui enseigneront à leurs enfants à les rejeter – alors même qu’ils auront la citoyenneté française et, par le droit de vote découlant du droit du sol, exprimeront tôt ou tard dans les urnes ce rejet déterminé ?

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