Manifestations antifas: «Empêcher des citoyens de s'exprimer et de débattre n'est pas acceptable en République» - Par Eric Delbecque

Des militants antifas s'en sont pris aux forces de l'ordre, le 27 novembre, dans un défilé «contre l'extrême droite et le racisme» à Paris, quand à Marseille ils s'opposaient à la venue d'Éric Zemmour. Éric Delbecque dénonce le recours à la violence en démocratie.


Éric Delbecque est expert en sécurité intérieure. Il a été le Directeur délégué à la sûreté de Charlie Hebdo après l'attentat de 2015. Il est l'auteur des Ingouvernables De l'extrême gauche utopiste à l'ultragauche violente, plongée dans une France méconnue (Grasset).

FIGAROVOX. - Plusieurs manifestations ont eu lieu ce 27 novembre à Paris, comme à Marseille, à l'initiative de mouvements de gauche pour lutter «contre l'extrême droite et le racisme », ont été le théâtre de violences. Leurs organisateurs sont-ils complices ?

Éric DELBECQUE. -
Je ne sais pas si on peut parler de complicité, car il faudrait que l'on ait plus d'éléments matériels pour se faire un avis. Mais il est clair que le maintien d'une ambiance, d'un climat d'« énervement » politico-idéologique de la part de certains d'entre eux conduit très facilement à la montée des violences.

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