Anne-Sophie Nogaret : quand le monde de la culture devient le porte-voix du racialisme



On l’a vue défiler dans la rue sans autorisation au nom de Black lives matter, on l’enseigne à l’université et dans les grandes écoles, les media s’en gargarisent, la publicité aussi, qui représente le plus souvent le couple français moyen en union mixte : la problématique de la « race » est devenue pour les français une récurrence. La loi Taubira du 21 mai 2001 a fait de l’esclavage un crime contre l’humanité ? Macron en Algérie a de la même façon défini la colonisation. Voilà qui ne pouvait mieux alimenter le logiciel victimaire des tenants de l’indigénisme. Ces derniers pour rappel s’appuient sur un présupposé en forme de dogme : le « Blanc », quoi qu’il fasse, dise ou pense, est par essence dominateur, bourreau passé présent et à venir de tous ceux qui ne lui ressemblent pas.

Le monde de la culture, relais assidu de la propagande multiculturaliste

Parmi les relais assidus de cette idéologie multiculturaliste aux relents racistes et revanchards figure en bonne place ce que la technocratie a appelé le « monde de la culture ». La création culturelle en France est en effet subventionnée : arts vivants, cinéma, art contemporain bénéficient, directement ou non, des largesses publiques. Ces dernières sont censées garantir une certaine exigence, que mettraient à mal le grand public et son goût bien connu pour la facilité. Cela peut se comprendre. Comme peut se comprendre qu’à ce souci d’élever le niveau artistique se conjugue l’intérêt politique : créer la dépendance économique des artistes envers l’Etat fait de ceux-ci à la fois des obligés et une courroie de transmission. Rien que de très classique. Mais lorsque l’Etat, membre de l’Union Européenne, n’est plus souverain, lorsque ladite UE est par nature perméable au soft power américain, l’artiste devient alors à son insu, plus que le porte-parole d’une politique d’Etat, le vecteur actif d’une idéologie mondialisée. Cette idéologie qui porte le beau nom de progressisme se fonde en réalité sur la défense des « minorités », c’est-à-dire dans l’acception contemporaine du terme, de tous les « dominés » parfois auto-proclamés : femmes, transsexuels, noirs, migrants, musulmans, handicapés, etc.


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