Nathalie MP Meyer : Comment faire un budget GENRÉ et autres contes de sapin de Noël


Déferlante, raz-de-marée, vague verte historique – au soir du second tour des élections municipales du 28 juin dernier, les commentateurs et les intéressés manquaient de mots pour exprimer leur extase face aux « fabuleux » résultats des listes écologistes.

Et de fait, après Grenoble décrochée en 2014 par Cédric Piolle, c’était au tour de Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Annecy, Tours, Poitiers, Besançon (pour ne citer que les plus grandes villes) de succomber à la passion des élus EELV pour la multiplication des pistes cyclables et la suppression des affiches publicitaires en ville.

Une « brillante » victoire pour l’immense parti de Voynet, Duflot et Jadot, une victoire qui a même redonné de grandes espérances à la gauche pour 2022, mais une victoire qui souffre cependant d’un niveau d’abstention record (58,4 % après 38 % en 2014), du jamais vu à ce type d’élection locale réputée proche de la vraie vie des vrais gens.

Dans ces conditions, difficile de dire qu’Éric Piolle a été reconduit à Grenoble par la grâce de sa gestion municipale impeccable puisque son score de 53 % des suffrages exprimés tombe à seulement 18,7 % des inscrits en raison d’une abstention de 64 %. Quant aux nouveaux venus comme Grégory Doucet à Lyon ou Pierre Hurmic à Bordeaux, ils n’ont été élus que par 19 % et 17,5 % des inscrits respectivement. Pas de quoi sauter au plafond.


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