Max-Erwann Gastineau : "Est et Ouest ne sont pas les descendants du même traumatisme"


Le 16 septembre, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a annoncé vouloir "abolir" le règlement de Dublin régissant les demandes d'asile au sein de l'Union européenne, remplacé par une nouvelle gouvernance migratoire le 16 septembre dernier. Cette dernière pourrait permettre aux pays du groupe de Visegrád (Pologne, Hongrie, République tchèque et Slovaquie) de ne pas accueillir de migrants comme ils le souhaitent.

Marianne : Comment jugez-vous les critiques à l’égard du règlement de Dublin ?

Max-Erwann Gastineau :
Un premier constat s’impose : leur caractère unanime. Tout le monde veut changer le "règlement de Dublin", dont les termes, rappelons-le, exigent du demandeur d’asile qu’il formule sa demande sur le premier sol européen foulé, soit bien souvent : l’italien, le maltais ou le grec. Tout le monde veut changer ce règlement pour enfin avancer, effacer les échecs répétés de l’Union européenne sur le terrain de l’immigration. "Avancer", mais pour aller où ?

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