Fatiha Boudjahlat : Arrêtons la démagogie qui consiste à faire croire que tout est permis


Toutes les tenues peuvent-elles être autorisées dans l'enceinte d'un collège ou d'un lycée ? Faut-il accepter ou interdire certains vêtements comme les crop-tops (petits hauts qui dévoilent le nombril), les débardeurs échancrés ou les shorts ? Depuis plusieurs jours, le débat fait rage sur les réseaux sociaux, à travers les hashtags #Lundi14septembre ou #Balancetonbahut. "Vous n'allez pas à l'école comme vous allez à la plage ou en boite de nuit (...) On vient à l'école habillé de façon républicaine" a réagi cette semaine le ministre de l'Education nationale, Jean-Michel Blanquer. Des propos qui ont suscité l'étonnement, voire l'incompréhension, de certains internautes ou personnalités, y compris au sein même du gouvernement. Mais pour Fatiha Boudjahlat, professeure d'histoire-géographie de Toulouse et essayiste, l'école est bel et bien là pour "transmettre des connaissances mais aussi des codes". Ce qui nécessite de "laisser ses identités particulières à la grille".

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