Crise sanitaire : gouverner, c’est faire peur - Par Patrick de Casanove

Les gens ne jugent plus de la gravité d’une épidémie à partir de faits, mais à partir des mesures prises par l’État. Or, l’État a un objectif, celui de survivre.


Il est légitime de se demander pourquoi le ministère de la Santé a publié vendredi 12 février une circulaire intitulée « Organisation de l’offre de soins en prévision d’une nouvelle vague épidémique » alors qu’au même moment :

« Le nombre de nouvelles hospitalisations et entrées en réanimation de malades du Covid-19 ont continué de reculer au cours des dernières 24 heures, sans que la circulation du virus ne ralentisse […] Quant au nombre de personnes actuellement en réanimation […] cet indicateur était passé vendredi pour la première fois en cinq jours sous la barre des 3300. »

À quelques pourcents prêts, depuis quelques semaines, les chiffres de la crise sanitaire varient d’un jour à l’autre, dans un sens ou dans un autre. Cela dit, la baisse se confirme plusieurs jours après la publication de la circulaire. C’est la même chose au niveau mondial, sans que l’on sache vraiment pourquoi.

https://pourunenouvellerepubliquefrancaise.blogspot.com/https://grandeschroniquesdefrance.blogspot.com/https://parolesdevangiles.blogspot.com/https://raymondaronaujourdhui.blogspot.com/

#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police