Étienne Gernelle : Le Parquet national financier, du ridicule à l’odieux ?

Les méthodes à la limite de la barbouzerie employées par certains magistrats dans l’affaire « Sarkozy-Bismuth » témoignent de la faillite morale du PNF.


On connaissait depuis longtemps des journalistes qui se prenaient pour des (mauvais) juges. L'exemple le plus net étant les accusations de proxénétisme, de viol, de meurtre et d'actes de barbarie contre Dominique Baudis colportées notamment par Le Monde (sous la houlette d'Edwy Plenel). Tout était faux, mais la sentence - médiatique - était prononcée en même temps que l'accusation.

Nous avons désormais des magistrats qui se prennent pour des (mauvais) journalistes : vindicte, mauvaise foi et, à l'occasion, biais politique. Ainsi, le Parquet national financier, qui a annoncé la couleur en début de procédure dite « Bismuth » en assimilant, dans son réquisitoire de renvoi, Nicolas Sarkozy et son avocat à des « délinquants chevronnés ». Ah bon, il était déjà condamné ?

S'ajoute à cela, et c'est bien le problème, le piétinement de l'État de droit, car les magistrats sont dotés de pouvoirs coercitifs, contrairement à la presse. Les révélations de Marc Leplongeon et Aziz Zemouri cette semaine sont stupéfiantes. Elles s'ajoutent à d'autres dérives déjà connues.

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