Elizabeth Montfort : On ne peut supprimer le père au nom de l’égalité


«Ne pas avoir un mari, ça m’expose plutôt à ne pas être violée, ne pas être tuée, ne pas être tabassée. Et ça évite que mes enfants le soient aussi»: les propos tenus par l’élue parisienne EELV Alice Coffin, qui ont ressurgi sur les réseaux sociaux, en disent long sur la chasse au père désormais engagée et sur le matraquage médiatique, via les réseaux sociaux, pour venir au secours du projet de loi très controversé et dont l’article 1er, prévoyant l’ouverture à la PMA pour toutes, vient d’être adopté en deuxième lecture par l’Assemblée nationale.

C’est oublier que la majorité des pères ne sont ni violents, ni violeurs et qu’il est profondément injuste que des pères soucieux de l’éducation de leurs enfants et présents dans la famille soient cloués au pilori du tribunal médiatique au nom des pères délictueux ou criminels. C’est oublier aussi que tout acte délictueux ou criminel doit être condamné par un tribunal de la République et non par un hashtag #BalanceLePère qui condamnerait tous les enfants à être privé de père au motif que quelques-uns d’entre eux sont violents, sur l’air de «pour supprimer la violence des pères, supprimons la figure du père».

Cela rappelle certains propos du Sommet mondial de Pékin de 1995 sur les femmes qui avaient pourtant ouvert tant de perspectives avec le raisonnement suivant: «pour éviter que les femmes ne fassent l’objet de violence, supprimons le concept de femme». Nous avons vu par la suite l’idéologie du genre se déployer et s’imposer dans le débat public.

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