Grégory Joron : Pas de “jour d'après” pour la police


La crise sanitaire traversée par notre société a légitimement fait naître quelques espoirs pour nos lendemains. Qui n'a pas espéré un changement, comme si nous sortions de notre coffre-fort ces valeurs trop souvent oubliées, la solidarité, l'écoute, l'équité ? Une évolution aussi brutale que le fléau de la Covid-19, un espoir en ce « jour d'après ». Pour Unité SGP Police, le temps était venu de remettre l'humain au centre du débat et des préoccupations (suicides, carrières, cycles horaires, travailleurs de nuits, matériels).

Les dossiers sont légion, tous importants et inextricablement liés. Au-delà, il était important pour nous de définir les sillons que nous voulions voir tracés pour l'avenir de notre police et d'établir un diagnostic sur le mal-être profond des policiers pour en éradiquer les causes. Il ne saurait disparaître sans grande réforme, sans évolution de texte obligeant à réunir des comités techniques interminables, sans, finalement, grand effort politique.

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