Nicolas Baverez : Le “quoi qu’il en coûte” tue la relance

Aux États-Unis, la dépense publique accélère la reprise de l’activité et de l’emploi ; en France, elle sert d’anesthésiant pour la poursuite des restrictions sanitaires et l’absence de réforme de l’État.


L’épidémie de Covid-19 a clos le cycle des politiques libérales ouvert à la fin des années 1970, qui avait été fortement ébranlé par le krach de 2008. L’heure n’est plus au libre-échange, au capitalisme entrepreneurial, à la diminution des impôts et des dépenses publiques, à l’indépendance des banques centrales, mais au protectionnisme, au renouveau des interventions de l’État, à l’envolée des déficits et des dettes publics financés par l’émission de monnaie.

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