Une justice en proie à des « bouffées (idéologiques) délirantes » - Par Alain Laurent

Réflexion autour de la question de la responsabilité de l’individu lors de jugements qui ont été rendus récemment.


Tout le monde connaît désormais les attendus de l’incroyable décision de la Cour de cassation prise le 14 avril dernier au sujet de Kobili Traore, assassin et tortionnaire de Sarah Halimi, cette femme juive qu’il a défenestrée le 4 avril 2017 en clamant « Allah Akbar » et en récitant des versets du Coran : un meurtre antisémite et raciste à l’état pur ainsi que l’instruction devra finalement l’établir.

Mais puisque agissant sous l’empire de la consommation de stupéfiants, son « discernement aboli » par « une bouffée délirante » le rendait « pénalement non responsable » en vertu de l’article 122-1 du Code pénal, il n’y aura donc pas de procès, comme s’il ne s’était rien passé de grave. Le meurtrier ne sera que quelque temps confié aux petits soins bienveillants d’un service psychiatrique.

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