Rachel Khan : la libération de la parole contre la liberté d'expression

Il faut libérer la parole des victimes, mais on cherche en même temps à faire taire ceux qui, comme Pépita, ne vont pas dans le sens de l'idéologie identitaire "woke".

Il faut libérer la parole ! L'injonction est de taille.

Depuis, le mouvement #MeToo, le coming out des violences faites aux femmes s'est déployé au niveau planétaire, entraînant d'ailleurs d'autres mouvements de ce type relatif à la pédophilie et aux violences LGBT.

La prise de conscience est forte et les lignes bougent dans tous les milieux grâce à ce tour de force des victimes qui sautent le pas pour pointer du doigt leurs bourreaux.

Il faut parler, pour dire, redire, transmettre, alerter, s'indigner de l'inacceptable.

La libération de la parole est aujourd'hui si sanctifiée qu'elle ouvre à des droits imprescriptibles, ou remet en cause, parfois, la question des délais de recours pour certains délits et crimes.

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#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police