Nicolas Lecaussin : améliorer le « monde d’avant » oui, le rejeter, certainement pas

Le nombre de cas et de morts à cause du coronavirus est comptabilisé inlassablement dans les médias et sur les réseaux sociaux. Même si les perspectives, surtout économiques, ne sont pas optimistes, il faut se rappeler que notre monde, à quelques exceptions près, n’était pas vraiment à plaindre avant le déclenchement de l’épidémie. Une épidémie qui, ne l’oublions jamais, a pris ces proportions à cause de l’incurie, des mensonges et des tromperies d’une dictature marxiste.

Il y a eu un avant le virus, comme les 275 000 emplois nets créés aux États-Unis en février, avec de nouvelles hausses de salaires et 54 % des petites entreprises déclarant vouloir toujours embaucher. Fin février, le taux de chômage était à 3,5 %. Il faudrait aussi tenir compte des progrès accomplis à l’échelle du monde. Selon le rapport sur le développement des Nations Unies, la décennie qui vient de s’écouler a connu la plus importante baisse de la pauvreté. Selon les données de la Banque mondiale, le taux d’extrême pauvreté a chuté de plus de moitié, passant de 18,2 % à 8,6 %, entre 2008 et 2018. Selon le World Data Lab, pour la première fois, plus de la moitié de la population de la planète pourrait être considérée comme faisant partie de la classe moyenne.
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