François-Xavier Bellamy: «Nos dirigeants ont oublié que l’histoire est faite de menaces»

LE FIGARO MAGAZINE. - Votre dernier essai, paru il y a un an, s’intitulait «Demeure», comme une invitation à échapper à l’ère du mouvement perpétuel. Pouviez-vous imaginer alors la France confinée?
François-Xavier BELLAMY. - Notre monde en mouvement avait pour vertus cardinales l’agilité, la vitesse, la rupture ; et soudain notre seul impératif devient: restez chez vous! Je pourrais dire en souriant que nous sommes passés bien vite d’En marche à Demeure. Bien sûr, il est impossible de se réjouir d’une assignation à résidence généralisée, nécessaire pour éviter la propagation du virus, mais éprouvante pour beaucoup, et qui aura des conséquences économiques et sociales si graves…
La demeure n’implique pas le confinement, au contraire. Elle est le point de départ. Mais s’il faut tirer d’un mal un bien, il est vrai que cette période d’immobilité forcée peut nous offrir l’occasion d’échapper à l’agitation de nos vies: pour ceux d’entre nous que leur travail ne place pas en première ligne dans cette crise, ce temps suspendu permet d’habiter de nouveau, au lieu de passer sans cesse. Pour reprendre le titre d’un éditorial dans vos pages: Bienvenue chez vous!
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