G.-W. Goldnadel: «La religion des principes désincarnés tue»

Au-delà de l’impéritie particulière de nos autorités dans la crise, à comparer notamment avec la manière dont s’y prennent nos voisins germains, une question ne cesse de me fasciner: l’impossibilité de renoncer à nos vilaines habitudes. L’une d’elles est incarnée par la religion des libertés désincarnées. Nous observons visiblement la puissance paralysante de ce courant dogmatique dans les actuelles tergiversations du pouvoir en matière de traçage des individus contaminés aux fins d’isolement prophylactique. Le mal court, l’économie rampe mais notre commissaire européen Thierry Breton a prétendu, pour le différer, que ce traçage ne serait pas «dans notre culture».
Alors que l’on assure que cette épidémie serait d’une telle morbidité qu’il faudrait tout arrêter (en réalité, faute de tests), l’on serait incapables de renoncer un temps à nos prétendues habitudes culturelles alors que la maison brûle!
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