Céline Pina : Décapité pour avoir montré un dessin


Il était professeur. D’histoire. Sa tête a été retrouvée, non loin du collège où il enseignait, posée sur l’asphalte. Décapitée. Dans une mise en scène barbare digne de Daesh, l’auteur, un jeune Tchétchène de 18 ans a diffusé cette photo sur les réseaux sociaux avec un commentaire explicite : « J’ai exécuté un de ces chiens de l’enfer qui a osé rabaisser Muhammad. » L’admonestation est adressée au chef des infidèles, Emmanuel Macron et est revendiquée au nom d’Allah, le tout miséricordieux.
Montrer ces dessins en classe est pertinent

Quel crime avait donc pu commettre ce professeur pour avoir une fin aussi atroce ? Aucun. Il a été tué par pure idéologie. Lui est absolument innocent. En effet, montrer des caricatures de Charlie dans le cadre d’un cours sur la liberté d’expression, pour l’illustrer, est plus que pertinent, c’est primordial et indispensable. Ce devrait être une obligation que de faire le tour des établissements scolaires pour expliquer cette affaire et en faire un support pour illustrer à quel point cette liberté est une des bases de notre civilisation. Après un tel meurtre gratuit, comment supporter la cohorte des « oui, mais… », des « il l’avait un peu cherché » repris comme à chaque attentat, alors que s’alignent nos morts et que les islamistes en ajoutent à la liste tellement régulièrement que l’on a le sentiment qu’ils ont la maîtrise du calendrier. Comment supporter les protestations hypocrites de tous ceux qui ont laissé menacer de viol, de meurtre et d’égorgement la jeune Mila, déjà cible de la même violence et de la même idéologie ?


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