La peste éolienne - De Patrice Cahart

« La peste éolienne », c’est ainsi que Patrice Cahart décrit cette solution à la question énergétique, en France, qu'il juge illusoire. Haut fonctionnaire à la retraite, il alerte aujourd'hui sur les problèmes que posent les éoliennes.

ALERTE ! est une collection ouverte aux lanceurs d'alerte désireux de poser les bonnes questions à travers un véritable travail de journaliste ou de chercheur. Dirigée par Jean-Pierre Guéno, elle se veut un lieu refuge contre la pensée formatée à travers des titres forts, des ouvrages fluides et percutants.

L'énergie éolienne a-t-elle un vrai rôle à jouer dans le " mix énergétique " on ne relève-t-elle que d'une imposture plus juteuse pour ses producteurs et pour ses promoteurs que pour le commun des mortels ? Vivons-nous l'ère des marchands de vent, dans le mauvais sens du mot ? Patrice Cahart ne voudrait pas que l'on apporte une fausse solution au vrai problème que constitue le réchauffement de notre planète. Sachant qu'une éolienne ne fonctionne en moyenne, dans notre pays, qu'à 24 % de sa puissance, il est indispensable d'assurer le complément, et de recourir au gaz, polluant. L'éolien est donc une fausse énergie propre, une fausse énergie renouvelable.
Les éoliennes, dont certaines atteignent maintenant deux cents mètres de hauteur, ravagent nos paysages, qui sont le cadre de vie des Français, et l'une des bases de notre tourisme.
De surcroît, le courant d'origine éolienne coûte deux fois plus cher que celui des centrales nucléaires actuellement en service, dont l'exemple des États-Unis montre qu'on peut les prolonger durant une quarantaine d'années. La réalisation du programme éolien actuel engloutirait des dizaines de milliards qui seraient bien plus utiles ailleurs (développement des véhicules électriques, isolation des bâtiments). Pour que vous retrouvez votre liberté de penser, Patrice Cahart vous donne les vrais clef du problème

"La peste éolienne", Patrice Cahart alerte sur ces géants d'aciers

Revendiquant son indépendance, il les analyse d’un œil neutre, et selon lui, les décideurs écoutent trop souvent les « idéologues » qui rêvent d’une solution verte, mais les éoliennes ne sont pas si vertes que cela, défend-il. Elles ont non seulement un coût à la fabrication mais sous divers aspects, elles nécessitent, pour chaque nouveau parc éolien, l’installation d’une "usine à gaz", afin de compenser à la baisse de production de ces grands bâtiments dépassant parfois les 200 mètres.

Quelle est alors la solution ? Le nucléaire ?


Patrice Cahart: «Le développement de l'éolien nuit au climat»

FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN - Dans son nouvel ouvrage La Peste éolienne, Patrice Cahart alerte sur la propagation de ces «hautes carcasses». Les éoliennes se développent grâce à l'ignorance entretenue du public et un soutien dogmatique des décideurs, argumente-t-il.

FIGAROVOX. - Le titre de votre ouvrage est La Peste éolienne . Pourquoi utilisez-vous une métaphore maladive ?

PATRICE CAHART. -
L'éolien a ceci de commun avec la peste qu'il se propage en dépit des mises en garde, et qu'il tue. En l'occurrence, les victimes sont les paysages français. J'étudie cette maladie depuis une dizaine d'années. Mes articles et mes conférences n'ont guère eu d'effet sur les décideurs. Le moment est donc venu de hausser le ton.

Polluant, l'éolien l'est d'abord par son mariage forcé avec le gaz. Une éolienne terrestre, dans notre pays, ne fonctionne en moyenne qu'à 25 % de sa capacité. Le plus souvent, elle se trouve à l'arrêt ou tourne au ralenti. Or les consommateurs ont besoin d'une alimentation régulière. Pour assurer le complément, force est donc de se tourner vers le gaz, qui comporte trois sérieux inconvénients : sa combustion dégage du gaz carbonique, il n'est pas renouvelable, il nous met dans la dépendance de la Russie. J'ajoute que, depuis peu, son prix connaît une forte ascension sur les marchés mondiaux. Bref, l'éolien et le gaz forment un couple infernal.

Polluant, l'éolien l'est une seconde fois, en détournant à son usage d'énormes sommes qui seraient bien plus utiles ailleurs. J'ai calculé que pour remplacer d'ici à 2035, comme le voudrait le programme officiel, douze réacteurs par des renouvelables (deux tiers d'éolien et un tiers de photovoltaïque), il faudrait investir 145 milliards, y compris le développement d'un réseau très ramifié et la constitution d'une force de secours gazière. En regard, le maintien des douze réacteurs par des travaux dits de grand carénage ne coûterait que 13 milliards. La différence entre les deux chiffres, soit 132 milliards, correspond à ce qui serait gaspillé par l'éolien au lieu d'aller à des causes vraiment utiles (isolation des bâtiments, chauffage électrique, promotion des véhicules électriques).

Plus on développera l'éolien, plus on nuira au climat.

https://pourunenouvellerepubliquefrancaise.blogspot.com/https://grandeschroniquesdefrance.blogspot.com/https://parolesdevangiles.blogspot.com/https://raymondaronaujourdhui.blogspot.com/

#JeSoutiensNosForcesDeLOrdre par le Collectif Les Citoyens Avec La Police