Pass sanitaire : Macron parle mais c’est Billy Wilder qui a raison - Par Nathalie MP Meyer

S’il existe quelque part une possibilité d’oppression quelle qu’elle soit ne vous faites aucune illusion, elle sera utilisée et justifiée par les dirigeants au nom des plus hautes valeurs de la République et de l’humanisme. Telle est la leçon des pessimistes de Billy Wilder.

Pour les vaccins, mais contre le pass sanitaire et contre l’obligation vaccinale qui en découle.


Alors que j’écoutais Emmanuel Macron nous annoncer dans son « Adresse aux Français » du lundi 12 juillet dernier que la jauge du pass sanitaire allait passer de 1 000 à… 50 personnes, je n’ai pu m’empêcher de repenser à ce que Billy Wilder disait sur les optimistes et les pessimistes confrontés aux abus de pouvoir progressifs des politiciens.

Les premiers, trop naïfs, se disent : « Mais non, ils n’oseront jamais aller jusque-là », et finissent souvent par contempler, impuissants, les ruines de l’État de droit orchestrées par leurs dirigeants, tandis que les seconds, généralement taxés de prophètes de malheur, ont la morne satisfaction de leur dire : « Je vous avais prévenus », quand ils n’ont pas carrément claqué la porte pour rechercher des lieux plus habitables.

Mais parlons d’abord du pass sanitaire.

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