Eric Delbecque : «Le 14 juillet, des individus ont provoqué délibérément la République par leurs violences»


FIGAROVOX.- C’est un triste symbole que celui-ci: le jour de la fête nationale, où les gendarmes, policiers, soignants, pompiers… qui ont participé activement à la lutte contre le virus, sont mis à l’honneur, ils sont aussi violemment pris à partie dans la rue, parfois même blessés par balle comme dans l’Essonne. De quoi ce rejet de l’État est-il le nom?

Éric DELBECQUE.-
Je crois que c’est d’abord un rejet de la loi avant d’être un rejet de l’État ; comme d’habitude, des activistes en profitent pour développer leur stratégie du harcèlement des forces de l’ordre avec des objectifs idéologiques et politiques, mais on doit absolument noter un «ensauvagement» de la société. Il est à la fois provoqué par des causes objectivables (notamment le travail de sape que subit la notion même d’autorité depuis plusieurs décennies) et notre faiblesse collective. Plus que jamais «force doit rester à la loi»… Ce qui signifie que les pouvoirs publics n’ont pas à hésiter devant une posture ferme du maintien de l’ordre. Posture qui s’inscrit parfaitement dans un cadre légal exigeant. De manière générale, la sécurité publique doit mobiliser l’attention des dirigeants politiques.
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