Gilles-William Goldnadel : «Quand la gauche tait le racisme anti-juif»

Il fallait que la semaine calamiteuse que nous avons connue se termine par une dernière calamité.
La ministre de la Justice avait considéré que l’émotion de l’affaire Traoré sur le parvis du Palais de Justice valait bien passe-droit. Et son collègue de l’Intérieur, décrétait que la même émotion méritait que l’on se mette à genou et que la tolérance zéro ne s’applique que pour les forces de l’ordre sur la base du soupçon avéré. La dernière calamité aura été qu’on a crié «sales juifs!» samedi dernier dans les rues de Paris lors d’une prétendue manifestation antiraciste.
Mais à la vérité, l’aspect le plus calamiteux de la chose n’est pas là. Il niche avant tout dans son déni ou dans son ergotage. Bien que les faits soient indéniables, bien qu’on possède l’image et le son, on aura tout entendu pour qu’on n’entende rien.
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