Nicolas Lecaussin : Les propositions de la Convention pour le climat ou la nouvelle société totalitaire écologique


Lors de son élection, le président Macron a été naturellement considéré par ses soutiens et admirateurs comme le fer de lance des opposants au populisme européen et américain. Un jeune politicien, l’incarnation de la modernité et du « monde nouveau » face aux conservateurs de tous poils qui seraient dépassés par les transformations de notre époque. Or, plus le temps passe, et plus les mesures qu’il propose ou adopte prennent un goût d’étatisme et de... populisme, précisément. D’un côté, il étatise les retraites, l’assurance chômage et infantilise les Français, de l’autre, il applique les recettes bien connues de la cuisine populiste. Il fait appel aux masses (ou il fait semblant) en organisant un Grand Débat national, il met en place une Convention nationale pour le climat avec 150 citoyens tirés au sort...

En mars 1919, Mussolini et son journal, Il popolo d’Italia, réunissaient une soixantaine de personnes venant de milieux variés pour fixer les bases du mouvement fasciste. Lénine justifiait toutes ses décisions « au nom du peuple » ; il était d’ailleurs le président du Conseil des Commissaires du Peuple. Staline a été « le petite père des peuples » et tous les dirigeants communistes invoquaient le peuple dans leurs discours et leurs politiques. Bien sûr, Macron n’est ni Mussolini, ni Lénine mais la démagogie populiste a les mêmes caractéristiques.

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