Olivier Babeau: «Ne mettons pas le doigt dans l’engrenage fatal des comptabilités raciales»

Éris, déesse mythologique de la discorde, n’avait pas raté son coup quand elle a mis Héra, Athéna et Aphrodite devant une pomme attribuée «à la plus belle d’entre elles». C’est de ce fatal concours que découlèrent la guerre de Troie et les longues tribulations d’Ulysse. Il semblerait qu’Éris se soit de nouveau invitée au milieu de nous, et qu’elle ait modernisé ses ruses.
Prompts à critiquer les États-Unis dans à peu près tous leurs choix (économiques, politiques et culinaires), nous sommes étrangement séduits par la façon dont leur conflit racial s’y déroule et même tentés de les imiter. La France avait pourtant depuis longtemps fait le bon choix: celui de l’universalisme contre le communautarisme. C’est-à-dire celui de considérer que la meilleure façon de garantir l’égalité est de décréter des droits identiques pour tous et de veiller à leur application. C’est pour cette raison que nous n’avons jamais voulu de statistiques ethniques ou de discrimination positive. La race ne devait pas être une catégorie chez nous, contrairement à ce qui se passe outre-Atlantique où cette notion est omniprésente.
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