Olivier Babeau : «Le colonel Beltrame a succombé sous les coups de l’islamisme radical»


C’est une plaque, dévoilée il y a quelques mois par la mairie de Paris dans la cour de l’ancienne caserne des Minimes. Elle rend hommage au colonel Arnaud Beltrame, assassiné en mars 2018 dans un supermarché de Trèbes, après avoir pris volontairement la place de plusieurs otages détenus par un terroriste islamiste. Si la plaque est visible depuis plusieurs mois, un détail a récemment choqué: à en croire la dernière ligne de son inscription, le gendarme aurait été «victime de son héroïsme».

Certes, la famille a validé ce texte. Certes, la formule en rappelle une autre: «victime du devoir», distinction honorifique attribuée par décret du président de la République, qui distingue un membre de la fonction publique, ou assimilé, ayant trouvé la mort dans l’exercice de ses fonctions. «Victime de son héroïsme», se veut sans doute une version plus forte et frappante, insistant aussi sur le caractère individuel de l’acte de Beltrame, sur sa personnalité exceptionnelle.

La formule n’en sonne pas moins curieusement. Mort en héros, Arnaud Beltrame? Cela ne fait aucun doute.

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