Jacques Julliard: «La crise de la conscience républicaine»


Certes, on nous avait bien promis qu’après la crise du coronavirus rien ne serait comme avant. Mais on ne nous avait pas dit que tout désormais serait pire.
Une France aux abois

Par quoi commencer? Par le plus imprévisible, le plus baroque, par cet antiracisme racialo-mondain, bien plus virulent, bien plus absurde que naguère les «gilets jaunes». Avec pour escorte les milieux du show-biz, plus hypocrites, plus pharisiens, plus opportunistes encore que jadis ; et aussi les «intellectuels de gauche» plus suivistes, plus chiens couchants qu’à l’époque stalinienne, et je sais l’énormité de ce que j’avance!

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Viennent ensuite les politiques qui, une fois de plus, n’ont rien appris ni rien oublié, avec à l’extrême gauche un François Ruffin pire que Mélenchon, à droite un Jacob pire que Jacob, et entre les deux un Parti socialiste égal à lui-même dans l’insignifiance. J’allais oublier les favoris de l’heure, ces grands benêts d’écolos, qui pour la plupart chantent à pleine voix la bonté d’une nature que le coronavirus a révélée dans sa cruauté extrême: you kaïdi, you kaïda!

Pour suivre, une télévision d’État qui bat des records, non de désinformation, mais d’information, à l’exception du tourisme et de la cuisine au beurre: liberté, égalité, camping!
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